On cherche toujours des petsitters / dogsitters / catsitter pendant les vacances, comment devenir petsitter pour n’utiliser que ce terme, faut-il en chercher un plus adapté ?
Avoir une activité de petsitter est très majoritairement un « petit boulot » au même titre que les autres services liés à la personne, comme donner des cours particuliers ou faire du repassage par exemple. On comprend de suite qu’assimiler cette activité occasionnelle et très marginale à celle d’un professionnel relève d’un manque de bon sens, parfois de mauvaise foi. Les jeunes personnes qui cherchent à gagner quelque argent pour des projets personnels veulent avoir la satisfaction d’être relativement indépendantes financièrement à un moment.
Les propriétaires ont toujours tendance à préférer un particulier, comme ils le sont eux-mêmes pour s’occuper de leur animal. Cela procède d’une similitude de vue et souvent de la proximité géographique entre le propriétaire et le petsitter choisi. Il est appréciable de ne pas être obligé à un long déplacement pour apporter son animal chez le petsitter dogsitter ou la famille d’accueil, alternativement l’animal peut être visité dans son lieu de vie, c’est souvent important. Cette dernière solution permet de créer du mouvement dans la maison qui reste ainsi relativement animée par une présence visible. Si l’animal est âgé ou bien dominant, la solution de visite à domicile est préférable pour tout le monde. Ce choix est le mieux disant pour le propriétaire très attaché au territoire son animal, il a conscience d’assumer au mieux ses responsabilités de maître. La garde à domicile pendant les vacances pourrait être le créneau d’activité des seniors.
Seniors petsitter-dogsitter des vacances
Le fait d’être retraité ou en attente de le devenir après une vie professionnelle remplie est un cap à savoir franchir. Un peu comme passer de l’adolescence à l’âge adulte nécessite un recentrage des objectifs, les habitudes et une adaptation à des valeurs de la nouvelle vie par ce changement de statut. Il existe plusieurs changements qui affectent les seniors à commencer par le temps. Le temps est cet espace cadencé par les jours de la semaine qui se succèdent. Le retraité à autant je jours de la semaine qu’une personne active, enfin presque. Le constat est qu’il ne vit plus que deux jours de sa vie d’avant ; six samedis et un dimanche, le dimanche est le seul point commun restant avec les salariés. On est tenté déduire que le retraité est plus disponible pour venir en aide concernant en autre le petsitting (vraiment, il faudrait bien chercher un autre terme !). La vie de retraité ne doit pas être une vie de chien, mais à s’en occuper pour se rendre utile !
CINQ Etienne
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